Symptôme d’un repli sur soi que nous a imposé le confinement, les reliefs de mon corps sont devenus la plus grande des montagnes à gravir. Privée de liberté pour m’en échapper, j’ai décidé de les utiliser et de créer de nouveaux oasis.
Ce corps, devenu courbes de territoires imaginaires où le ciel et la terre se rencontrent, a des allures d’îles paradisiaques. Désertiques, ces refuges se transforment en terres propices à l’isolement et la méditation, accompagnant vers une connaissance de soi.
Seul au milieu de ces étendues de bleus, un arbre du voyageur déploie ses palmes. Le voyageur saura qu’en en perçant le coeur de l’eau fraîche et désaltérante en jaillira.
Ce corps, devenu courbes de territoires imaginaires où le ciel et la terre se rencontrent, a des allures d’îles paradisiaques. Désertiques, ces refuges se transforment en terres propices à l’isolement et la méditation, accompagnant vers une connaissance de soi.
Seul au milieu de ces étendues de bleus, un arbre du voyageur déploie ses palmes. Le voyageur saura qu’en en perçant le coeur de l’eau fraîche et désaltérante en jaillira.
Série réalisée lors du confinement 2021 à Maurice. Formats variables : 13x18 cm, 40x50 cm, 70x90 cm
Présentée à l'exposition An Déor, exposition personnelle à La Réunion, avril-mai 2022
Présentée à l'exposition An Déor, exposition personnelle à La Réunion, avril-mai 2022